Réponse électronique : pas obligatoire mais inéluctable

partager :

Si la réponse en ligne entre dans les mœurs, comme l’attestent les statistiques des principales plateformes nationales et régionales en 2013, la France ménage toujours le papier. Elle a fait partie des pays qui ont obtenu de Bruxelles un nouveau sursis avant de l’imposer dans la réglementation.

Présentée comme le talon d’Achille de la dématérialisation, la réponse électronique progresse. Mais à quelle vitesse ? Difficile de se faire une idée. Si l’on en croit le dernier recensement de l’OEAP, il n’y a pas de quoi pavoiser puisque le nombre de marchés notifiés supérieurs à 90 000 euros (soit un périmètre d’un peu plus de 70 000 contrats) ayant reçu au mo

Abonnez-vous pour continuer votre lecture

15 jours gratuits sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous.