
Préférence nationale : ne pas perdre de vue le droit communautaire
Le sujet de la préférence nationale face aux produits communautaires donne lieu à une dialectique désormais rodée. En fonction des agendas politiques ou des fluctuations économiques, les promoteurs de cette préférence défendent l’automobile, l’emploi, la culture, l’agriculture… Puis le rappel au droit de l’Union, au nom du respect des libertés de circulation, vient étouffer toute tentative de traduire en droit positif cette préférence. Un arrêt récent de la CJUE permet de ne pas perdre de vue la règle communautaire.


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