
Informatique : la réponse électronique est entrée dans les mœurs
Répondre en ligne à un marché public reste difficile dans bien des secteurs. Mais il est un domaine où elle ne fait plus débat : le secteur informatique. Depuis le 1er janvier 2010, date à laquelle elle est devenue obligatoire pour les marchés de plus de 90000 euros HT. Pour l’ensemble des acteurs, cette mesure est allée dans le sens de l’histoire.

Bien sûr, ne pas répondre en ligne à un marché public de fournitures ou de services informatiques pour une entreprise spécialisée dans le secteur fait mauvais genre… « Les entreprises ont tout intérêt à démontrer ce qu’elles savent faire, même en dessous de 90000 euros », estime Alain Bénard, vice-président de l’Association des acheteurs publics.Cette question de la démat

Abonnez-vous pour continuer votre lecture
15 jours gratuits sans engagement
Déjà abonné ? Connectez-vous.
Sur le même sujet


Envoyer à un collègue
Offres d’emploi
Juriste expert commande publique (f/h)
- 08/04/2025
- SYCTOM
- 08/04/2025
- Amiens Métropole
Juriste commande publique (f/h)
- 06/04/2025
- Val d'Europe agglomération
Nouveaux documents
TA Orléans 18 février 2025 Société Amexbois
-
Article réservé aux abonnés
- 10/04/25
- 07h04
TA Pau 24 février 2025 CIAS du Marsan
-
Article réservé aux abonnés
- 09/04/25
- 07h04
TA Strasbourg 27 février 2025 Société Josiane Trible Architecte
-
Article réservé aux abonnés
- 08/04/25
- 07h04
Les plus lus
Demande de précision en marché public : une modification sans incidence financière, mais qui ne passe pas
-
Article réservé aux abonnés
- 03/04/25 07h04
- Mathieu Laugier
Des marchés publics écologiques : encore de nouvelles obligations européennes !
-
Article réservé aux abonnés
- 08/04/25 06h04
- Mathieu Laugier
Marchés du "Cabinet ": comment faire bon ménage ?
-
Article réservé aux abonnés
- 07/04/25 06h04
- Jean-François Aubry
Données communicables ou confidentielles ? Un casse-tête pour les acheteurs publics
-
Article réservé aux abonnés
- 01/04/25
- 06h04
Donner de l’espoir à un candidat évincé coûte cher à l’acheteur public
-
Article réservé aux abonnés
- 08/04/25
- 06h04