La Cour des comptes pointe les turbulences dans la commande publique d’un aéroport

partager :

La juridiction financière vient de publier son rapport sur la société aéroportuaire Martinique Aimé Césaire (SAMAC), qui exploite l’aéroport international de la Martinique, propriété de l’Etat. Celui-ci fait apparaître une situation financière « dégradée ». En cause, notamment, l’état de la commande publique et de la fonction achat. L’occasion pour la Cour des comptes de distiller quelques conseils, que ce soit au niveau de la passation ou de l’exécution des marchés.

Le rapport de la Cour des comptes relève d’abord que la SAMAC s’est fixé quatre procédures, dont une procédure d’urgence pour gérer la passation de ses marchés en deçà des seuils réglementaires. Ces règles et le fonctionnement des outils dédiés aux achats sont formalisés dans des notes de procédures internes ou dans des manuels. En revanche, la Cour déplore qu’&agra

Abonnez-vous pour continuer votre lecture

15 jours gratuits sans engagement

Déjà abonné ? Connectez-vous.